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 (alaric) ›› to be alone.

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Alaric Sunderland
Alaric Sunderland
Admin ★ masters of the universe.
★ pseudo : sweet poison (anaïs).
★ date d'inscription : 15/05/2015
★ messages : 57
★ avatar : grant gustin, the flash biatch.
★ comptes : evy, clarke et darian.
(alaric) ›› to be alone. Tumblr_no1w2lF6lr1u2pyxyo9_250
★ occupation : chimiste au sein d'abott corporation officiellement, au sein de hydra officieusement..
★ lieu de résidence : il vit dans la ville de new-york, dans le quartier de brooklyn.
★ statut civil : célibataire, les histoires d'amour, c'est toujours compliqué.
★ compétences : amoureux de la science, il a de nombreuses connaissances même en dehors de la chimie.
MessageSujet: (alaric) ›› to be alone.   (alaric) ›› to be alone. EmptyVen 29 Mai - 15:50

alaric balan sunderland
I slithered here from Eden just to sit outside your door.
nom : il porte le nom de sunderland, un nom banal, qui lui vient de son père. prénom : il s’appelle alaric, un prénom assez original que sa mère lui a trouvé, il est souvent surnommé al, ou ric, deux surnoms qui lui conviennent parfaitement. Son second prénom est balan, un prénomp tout aussi original sorti de la tête de son père cette fois. date et lieu de naissance : il est né le 14 janvier 1990 dans la ville de New-York aux états-unis. âge : il a aujourd'hui vingt-cinq années derrière lui, il se sent parfois bien plus vieux que ça. statut civil : il est célibataire, c'est peut-être mieux comme ça, il n'a pas de temps à consacré à qui que soit d'autre que sa fille origines : il est américain pure-souche d'après ce qu'en dise ses parents. nationalité : américain, comme ses deux parents. emploi : officiellement il est chimiste, chercheur dans la firme abott corporation, officieusement il est chimiste pour hydra. orientation sexuelle : il est hétérosexuel aux dernières nouvelles, il n'a toujours été attiré que par les femmes. groupe: the black parade. crédits : tumblr.


HYDRA
There's lights that line these halls
001. bien que très dynamique, alaric est un homme qui à tendance à toujours arriver en retard et les rares fois où il est à l'heure, il aura forcément oublié quelque chose, quoi que, même en arrivant en retard, il oublie toujours quelque chose. 002. il est très doué en informatique, il maitrise très bien l'ordinateur et est capable d'en réparer un sans aide, s'il n'avait pas voulu devenir chimiste, il se serait tourné vers l'informatique, c'est un domaine qui le passionne. 003. malgré ses vingt-cinq ans, on l'imagine toujours beaucoup plus jeune, ainsi, quand il commande une boisson alcoolisée au bar, on lui demande systématiquement sa carte d'identité ; on l'a déjà envoyé à la police une fois parce qu'on pensait qu'il s'agissait d'une fausse carte. 004. c'est un fan de comics, il possède une très grande collection, un tas d'ouvrages qui peuvent facilement faire de lui un grand gamin ; ce qu'il est de toute façon ; il mange toujours des tonnes de bonbons, peut passer des heures devant les jeux vidéos et adore faire des blagues pas toujours drôles, un vrai gamin. 005. tics et manies, truc à savoir sur le perso. 006. il lit beaucoup, c'est l'une de ses plus grandes passions ; cependant chez lui, il n y a que des comics et des livres de sciences, dans sa bibliothèque, les romans sont tous sur sa tablette, il ne sort jamais sans cette dernière. 007. sa fille est de loin la chose la plus précieuse qu'il possède en ce monde, il n'y a rien qu'il ne ferait pas pour elle ; il est devenu père très jeune, mais c'est un rôle qu'il n'a jamais pris à la légère, bien au contraire. 008. il est très bon cuisinier, après tout, la cuisine, c'est comme la chimie, il suffit de suivre correctement les doses pour que ça marche . 009. il dessine plutôt bien, quand il était plus jeune, il s'amusait souvent à créer des petites bandes dessinées, maintenant, il n'a clairement plus de temps à consacrer à cette passion. 010. il sait jouer de la guitare et chante plutôt bien, il joue souvent pour sa fille, ça l'aide à s'endormir.
ALARIC BALAN
SUNDERLAND
Métier
CHIMISTE
Sexe
M
Division
CASTOR
N° D'AGENT : 66

Pourquoi avoir rejoint Hydra ?
Il a rejoint Hydra par défaut, scientifique récemment diplômé, il avait besoin d'un boulot et l'un des recruteurs de abott corporation est venu vers lui pour lui proposer un poste de chimiste au sein de la firme pharmaceutique. Le salaire était plutôt avantageux alors, les histoires confidentielles et autres trucs dont on lui a parlé, ça ne l’intéressait qu'à moitié, il a accepté l'offre. En acceptant Abott corporation, il a accepté hydra. Pendant un moment, il avait du mal avec hydra, puis son ex petite amie est revenue dans sa vie, une mutante le menaçant de lui retirer la garde de sa fille, à ce moment là il a compris qu'hydra était sa chance de se débarrasser de la jeune femme. Il n'y a rien qu'il ne ferait pas pour sa fille, alors si Hydra est sa seule chance de la garder, il est prêt à jurer fidélité à cette organisation jusqu'à la fin de ses jours, qu'importe ce qu'ils peuvent faire, qu'importe leur volonté de dominer le monde.

Que pensez vous des mutants et non-humains ?
Pendant longtemps, il n' a eu aucun problème contre eux, sa meilleure amie étant une mutante, ça l'acceptait sans aucun soucis, mais tout à changé récemment quand son ex petite amie est revenue. Elle aussi est une mutante et son don pourrait bien lui faire perdre la garde de sa fille. Dès lors il a compris que les mutants étaient puissants et qu'ils n'avaient pas tous de bonnes intentions contrairement à sa meilleure amie. Ainsi, il considère qu'il faut se méfier d'eux, qu'il faut les étudier pour les comprendre et pour pouvoir les arrêter et Hydra les étudie, hydra les utilise, c'est que, d'une façon ou d'une autre, ils savent comment les manipuler, et c'est ce dont il a besoin en ce moment. Il ne méprise pas tous les mutants, mais il commence de plus en plus à les craindre.

sweet poison - anaïs - 22 ans
ft. grant gustin - personnage inventé.
fréquence de connexion : jamais, je suis une rebelle. pays : dans tes fesses lol xD ptdr. avis sur le forum : je l'aime pas c'est un vilain. avez vous des suggestions : ouais, lui donner la fessée. comment l'avez vous connu : sur adopte un mec  looove . dernier mot : euuuh patate ?


Dernière édition par Alaric Sunderland le Lun 1 Juin - 0:41, édité 4 fois
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Alaric Sunderland
Alaric Sunderland
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★ compétences : amoureux de la science, il a de nombreuses connaissances même en dehors de la chimie.
MessageSujet: Re: (alaric) ›› to be alone.   (alaric) ›› to be alone. EmptyVen 29 Mai - 15:50

the warriors that built this town.
you're familiar like my mirror years ago.
« Elize Sunderland, c’est un magnifique nom. » Il ne pouvait qu’être d’accord avec la jeune femme en face de lui. Il avait beau être jeune, trop jeune sans doute, le bébé que sa petite amie tenait entre ses bras était déjà la plus belle chose au monde à ses yeux. C’était son bébé. Il savait que ça allait être compliqué, il était encore étudiant, il avait tout juste vingt-et-un ans et un bébé ça ne faisait pas parti des plans qu’il avait fait pour son avenir, quelques années plus tôt. Il n’avait pas prévu que les choses se dérouleraient ainsi et Sybell non plus. Ils s’étaient rencontrés à l’université, quelques années plus tôt et il lui semblait qu’elle était le grand amour de sa vie, alors ça n’avait pas d’importance que tout ça n’ait pas fait partie des plans qu’il avait pu dresser quand il sortait tout juste du lycée pour rentrer à l’université. Il s’en fichait. Il était heureux et c’était de loin tout ce qui comptait. Il était le père d’une merveilleuse petite fille et rien au monde ne pouvait le ravir plus que ça. Sa mère avait été quelque peu surprise d’apprendre la nouvelle quelques mois plus tôt, mais elle avait fini par l’accepter et il savait bien qu’elle serait toujours avec lui. La famille Sunderland avait tout d’une famille sans histoire. Ses parents étaient simples, sa mère était gérante d’une petite boutique de vêtements, quant à son père, il travaillait comme professeur de mathématique dans un lycée. Il y avait lui, ses deux parents et sa sœur cadette, tous les quatre ils formaient une famille simple mais heureuse. Il adorait ses parents, il adorait sa sœur. Ils étaient une famille banale, mais particulièrement soudée. Rien ne semblait pouvoir les séparer, alors il savait qu’il aurait le soutien de sa famille, même celui de sa mère qui avait manqué de faire un arrêt cardiaque quand il lui avait appris la nouvelle. Elle avait peur pour son avenir, peur qui laisse tomber ses études et ses rêves au passage pour s’occuper d’un enfant. Il avait de nombreuses années devant lui pour en avoir des enfants, alors pourquoi se précipité ? Ce n’était pas comme s’il avait choisi d’avoir ce bébé, c’était plutôt un accident. Un bel accident. Bien-sûr qu’il aurait attendu sinon, avant de seulement envisager d’avoir un enfant. Ce qui était fait était fait à présent et cet erreur qu’ils avaient pu commettre neuf mois plus tôt s’avérait en réalité être la plus belle chose qui leur soit arrivé. « Attends, bouge pas, il faut absolument que j’envoie une photo à Raina. » Rapidement, il attrapa son téléphone portable pour prendre une première photo de la petite fille. Logiquement, ses parents auraient dû être les premiers à qui il allait envoyer cette photo, mais ils étaient tellement doués avec la nouvelle technologie que c’était peut-être mieux qu’ils se déplacent pour voir leur petite fille. Et puis c’était évident que c’était Raina qui verrait le bébé en première. C’était toujours Raina avant tout le monde. Elle était sa meilleure amie, celle avec qui il avait tout traversé jusqu’à présent. Ils s’étaient fait la promesse de toujours être là l’un pour l’autre et d’aller au bout de leurs rêves côtes à côtes. Elle était sa meilleure amie alors il se devait de la contacter au plus vite. C’était déjà la marraine de cette petite fille, qui d’autre qu’elle pourrait exceller dans ce rôle ? Un grand sourire sur les lèvres, il envoya la photo à sa meilleure amie. C’était vraiment une merveilleuse journée, la plus belle de toutes.

Un soupire passa le seuil de ses lèvres alors qu’il relisait encore une fois les mots de la lettre qu’elle lui avait laissé avant de partir. Sybell était partie. Elle disait que cette vie n’était pas faite pour elle, qu’elle n’y arrivait pas. Elle était trop jeune, la tête pleine de rêves et être mère était un frein à toutes ses envies. Elle était partie pour réaliser ses rêves, pour vivre la vie qu’elle avait toujours voulue mais qu’elle n’aurait jamais en restant avec lui et leur fille. Elle avait abandonné sa propre fille pour aller réaliser ses pseudos rêves à l’autre bout du pays. Il n’arrivait même pas à imaginer qu’on puisse faire ça. C’était dur pour lui aussi depuis qu’il y avait Elize, il devait jongler entre sa vie de père, ses études et son boulot dans un café pour payer les factures, il avait parfois l’impression de passer plus d’heures éveillés qu’il n’y avait d’heures au total dans la journée. Cependant, chaque fois qu’il posait son regard sur la petite Elize, tout semblait s’arranger. Elle était parfaite et même si c’était compliqué, il l’aimait de tout son cœur et jamais il ne l’abandonnerait. Sybell le savait ça, c’était certainement pour ça, qu’elle avait décidé de partir en lui laissant la petite fille, parce qu’elle savait qu’elle serait bien avec lui, qu’elle serait aimée et qu’elle aurait la meilleure des vies possibles. Elle savait qu’il n’y avait déjà rien qu’il serait incapable de faire pour cet enfant. Elle avait raison sur ce point là. Pour le reste, c’était une autre histoire. Il se senti trahi et blessé. Elle lui brisait le cœur en s’en allant de la sorte et elle brisait également celui de leur fille. Elle ne connaitrait pas sa mère parce que cette dernière avait jugé qu’il y avait des choses plus importantes dans la vie que de s’occuper de son enfant. Comment une mère pouvait penser une chose pareille ? C’était elle qui l’avait portée pendant neuf mois, elle qui l’avait mise au monde et malgré ça, elle s’était barrée en la laissant derrière elle. Elle était lâche. Jamais il n’aurait pensé qu’elle agirait ainsi. Il l’aimait, il pensait bien la connaitre, mais il se trompait, elle n’était pas celle qu’il croyait et déjà tous les sentiments qu’il avait eu pour elle, étaient en train de changer, d’amour, il ne lui resterait bientôt plus que rancœur. Elle était partie et elle ne lui avait laissé quelques mots sur du papier. Une lettre et rien de plus. Même pas elle n’avait eu le courage de l’affronter en face. Il sentait une certaine fureur se déverser dans ses veines alors qu’il serrait avec force le papier entre ses mains. Le chiffonnant peu à peu, de toute façon, il n’avait pas l’intention de le garder, à quoi bon ? Comme souvenir de la lâcheté de la femme qu’il avait aimée ? Il soupira à nouveau en se levant de sa chaise, puis il se dirigea vers la cuisine pour jeter cette lettre à la poubelle, il n’en avait pas besoin. il n’avait pas non plus besoin de Sybell, il s’en sortirait bien sans elle. Elize et lui allaient s’en sortir sans elle, ça ne faisait aucun doute. Un jour, peut-être qu’elle comprendrait ce qu’elle avait perdu, mais il serait trop tard pour qu’elle revienne.

« Tu travailles pour Abott Corporation ? » Il hocha la tête, malgré le regard plein de reproches de sa meilleure amie. Qu’est-ce qu’elle voulait qu’il dise de toute façon ? Il avait besoin d’un travail, il avait pris ce qu’on lui proposait. « Certaines personnes disent que ce n’est pas juste une entreprise pharmaceutique. » Non, ce n’était pas que ça, il l’avait bien compris quand on l’avait recruté, mais ça n’avait pas d’importance et de toute façon, c’était confidentiel, il n’avait pas le droit d’en parler, ni à elle, ni à personne d’autre. « Ils se font du fric et ils se fichent du reste, tu es doué, tu pourrais largement travailler ailleurs. » Il haussa les épaules. C’était facile à dire pour elle, elle avait eu le poste qu’elle voulait, celui qu’il voulait également de base. Mais ils n’avaient pu en garder qu’un seul entre eux deux et ils l’avaient choisi elle, forcément, il arrivait souvent en retard à cause de son rôle de père et il fuyait les heures supplémentaire comme la peste. Il avait besoin d’un boulot s’il voulait pouvoir s’occuper de sa fille correctement et il n’y avait pas à dire, c’était bien payé chez Abott Corporation ou chez Hydra, il ne savait plus s’il devait faire la différence entre les deux. Il était scientifique, il travaillait pour la science, le reste n’avait pas d’importance. « J’ai besoin de ce boulot Raina. » C’était peu dire, il avait déjà des factures qui s’accumulaient, financièrement, il n’en voyait plus le bout. Étudiant, il avait été aidé par ses parents, mais ils n’étaient pas faiseurs de miracles et pas extrêmement riches, alors il avait fait des prêts, il avait tardé à les rembourser et maintenant c’était à peine s’il savait comment il allait s’en sortir. Ce job et le salaire qu’ils lui offraient c’était une chance à côté de laquelle il ne pouvait pas passer. Il avait besoin de boulot. « Tu as besoin d’un boulot, pas nécessairement chez eux. » Il haussa les épaules, il était jeune, il avait un doctorat en chimie mais rien derrière, son expérience professionnelle se limitait à un emploi de courte durée dans une boite qui l’avait viré en un rien de temps et des petits jobs par ci-par-là pour payer le loyer. Il n’allait pas trouver un meilleur job avant de se retrouver à la rue. Il avait choisir de bosser là-bas, point final. « On raconte qu’ils font des expériences bizarres sur les gens comme moi. » Il n’était encore jamais descendu dans les sous-sol de l’entreprise, là où on se focalisait sur les expériences typiques d’hydra, mais il entendait les rumeurs lui aussi, il était aux premières loges lui. « Ce sont de rumeurs et je m’en fiche, c’est bien payé, j’ai besoin d’argent, je ne vais pas chercher plus loin. » Pourquoi est-ce qu’elle ne pouvait pas le comprendre ça ? Il leva les yeux au ciel alors qu’elle attrapait ses affaires. « Je n’arrive pas à croire que tu puisses penser comme ça ! » Il soupira, il le fallait bien au bout d’un moment pourtant. Il devait penser comme ça il n’avait pas le choix. « Raina … » Elle n’attendit pas, se contentant de s’en aller, vexée par son comportement elle quitta le café dans lequel ils étaient installés, sans rien ajouter.

« Qu’est-ce que tu fais ici ? » Sybell était revenue après quatre ans de silence radio, qu’est-ce qu’elle pouvait bien vouloir, elle avait perdu toute ses chances de retrouver Elize. « Je suis venue voir ma fille. » Un ricanement ironique passa les seuils de ses lèvres et pourtant, elle avait l’air complètement d’être sérieuse. De qui elle se fichait là ? Il était hors de question que ça se passe comme elle le voulait. « Après quatre ans de silence ? Tu ne crois pas que tu te fous de la gueule du monde ? » Ce n’était pas le moment de l’agacer, il s’était disputé avec  sa meilleure amie, de base, il était assez remonté et voilà qu’elle se pointait comme une fleur pour en rajouter une couche. « J’ai découvert plein de choses en quatre ans, je suis prête maintenant. » Il leva les yeux au ciel d’un air désespéré. Elle était prête maintenant, mais c’était trop tard. Il mourrait d’envie de lui fermer la porte au nez. « Qu’est-ce que tu as découvert ? Que tu avais un cœur finalement ? » C’était une nouvelle à laquelle il ne s’attendait pas ça, une grande nouvelle, puisque d’après lui abandonner son enfant comme elle l’avait fait, c’était la preuve qu’elle n’avait pas de cœur. « Alaric, j’ai pas envie de me battre avec toi, laisse moi voir ma fille ou tu vas le regretter. » Un sourcil arqué, il ne comprenait pas où est-ce qu’elle voulait en venir. Elle était folle c’était la seule explication possible. « Ouais bien-sûr. » Elle ne lui faisait pas peur, qu’est-ce qu’elle pouvait contre lui. « Tu veux bien me faire un café ? » Il fronça de nouveau les sourcils. « Non, je veux que tu partes. » Elle lui attrapa la main avant de reprendre. » S’il te plait, rien qu’un café. » Il acquiesça soudainement la laissant entrer dans son appartement avant de lui servir un café sous son regard satisfait. « Qu’est-ce que tu fais ? » Sa cafetière en main, il fixa la jeune femme sans rien comprendre. « Un café. » Il n’était pas en train de faire un ping-pong de toute évidence. « Pourquoi est-ce que tu fais ça ? » Très bonne question, il n’en avait pas envie, il n’avait pas envie de la voir, ni de faire quoi que ce soit pour elle. Il ne savait absolument pas ce qu’il faisait. « J’en sais rien. » Un sourire satisfait sur les lèvres elle s’installa sur le canapé comme si elle était chez elle. « Parce que je te l’ai demandé. C’est comme ça à chaque fois, je peux demander n’importe quoi, on me le donne. » Elle haussa les épaules, tellement fier d’elle alors qu’il lui servait son café. Qu’est-ce qu’elle était au juste, une mutante ? Une mutante qui pouvait obtenir absolument tout ce qu’elle voulait. « Je vais récupérer Elize, que tu le veuilles ou non. Je pourrais le faire ici et maintenant, mais je préfère quand les choses sont officielles. » Elle attrapa son café et l’avala rapidement avant de se relever du canapé. « On se reverra au tribunal. » Il fronça les sourcils en la regardant s’éloigner pour quitter l’appartement. Claquant la porte derrière elle. Si elle était une mutante et qu’elle avait le pouvoir d’obtenir ce qu’elle voulait, il ne pouvait pas gagner le procès, il allait perdre Elize. Sans réfléchir, il attrapa la tasse dans laquelle elle avait bu, il fallait qu’il sache si elle était ou non une mutante et à Hydra, il aurait sa réponse et si seulement Hydra faisait bel et bien des expériences sur les mutants comme Raina l’avait supposé, il espérait qu’il puisse l’attraper elle et faire ce qu’ils voulaient sur elle, parce qu’il était hors de question qu’elle lui arrache sa fille.
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