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 (clarke) ›› i'm bulletproof, nothing to lose.

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Clarke Moriarty
Clarke Moriarty
Admin ★ masters of the universe.
★ pseudo : sweet poison (anaïs).
★ date d'inscription : 15/05/2015
★ messages : 65
★ avatar : cristalline (avatar).
★ comptes : evy, alaric, darian.
(clarke) ›› i'm bulletproof, nothing to lose. Tumblr_nntt9iqdTz1u27g00o6_250
★ occupation : en fuite, elle n'a pas vraiment de boulot, de toute façon vu sa fortune elle n'a pas besoin de bosser.
★ lieu de résidence : elle passe de chambre d'hôtel en chambre d'hôtel, elle ne reste jamais longtemps au même endroit.
★ statut civil : célibataire et c'est beaucoup mieux comme ça.
★ compétences : absorption d'énergie, elle peut guérrir en prenant l'énergie d'autrui, elle peu également empêcher le vieillissement de ses cellules grâce à l'énergie qu'elle prend.
MessageSujet: (clarke) ›› i'm bulletproof, nothing to lose.   (clarke) ›› i'm bulletproof, nothing to lose. EmptyVen 29 Mai - 20:24

clarke elizabeth moriarty
Darken up my heaven Brighten up my hell.
nom : elle se fait appelée moriarty, nom qu'elle a pris à célèbre ennemi de sherlock holmes, son nom de naissance est pemberton, un nom qu'elle a abandonné il y a de nombreuses années. prénom : elle est née elizabeth, un prénom commun à l'époque où elle est née, les années passant, elle a souvent changé de prénom, aujourd'hui, c'est clarke. date et lieu de naissance : elle est née le 11 février d'une année lointaine, durant un hiver froid de l'année 1419, dans la ville de Londres en Angleterre. âge : si d'apparence elle semble n'avoir qu'un début de trentaine, clarke a très exactement 596 ans, difficile de la croire quand elle le dit, heureusement, elle ne s'en vente pas. statut civil : elle a été mariée, elle a connu des veuvages au fil des années, mais au final, elle est célibataire tout simplement. origines : elle est d'origine anglaise et malgré les années qui sont passées, on l'entend encore dans son accent. nationalité : elle en change comme elle change de chemise, trafiquant encore et toujours ses papiers, elle a la nationalité américaine en ce moment. emploi : elle ne travaille pas, elle n'en a pas besoin, elle a accumulé une sacrée fortune au fil des années et puis étant obligée de se cacher à la vue d'hydra, elle ne peut pas s'encombrer d'un travail. orientation sexuelle : bisexuelle, les années lui ont ouvert l'esprit. groupe: sell yoour soul. crédits : tumblr.


MUTANT
There's lights that line these halls
001. clarke est en vie depuis tellement d'années qu'elle en perd parfois le compte, elle doit sa survie à son don et aux vies qu'elle a pu prendre au cours de son existence, elle ne regrette pas les cadavres qu'elle a laissé derrière elle, satisfaite d'être encore et toujours en vie. 002. elle possède une énorme fortune, une somme d'argent qu'elle n'a cessé d'amasser au fil des siècles, après presque six siècles, autant dire qu'elle ne manque de rien. 003. elle a toujours eu des gouts de luxe, née dans une famille très riche d’Angleterre, elle a toujours apprécié les beaux bijoux, les belles robes, les temps ont changés, mais elle reste la même. 004. elle parle de nombreuses langues, elle a beaucoup voyagé au cours de ses nombreuses années de vie, elle s'est souvent arrêtée dans des nouveaux pays qu'elle est devenue très douée avec les différentes langues, mais l'anglais britannique est sa langue maternelle et son accent en est une preuve. 005. elle sait jouer du piano et de la harpe, vestiges des apprentissages de sa jeunesse. 006. elle est très nulle en cuisine, rares ont été les fois où elle s'est retrouvée obligée de cuisiner elle-même au cours de ses nombreuses années de vie, et il faut bien l'avouer, on s'habitue vite à être servie. 007. elle a changé d’identité de nombreuses fois au cours de sa vie, en ce moment elle s’appelle Clarke Moriarty, mais rien n'est fixé dans la roche, elle changera encore de nom si elle décide de quitter la ville. 008. récemment capturée par hydra, elle a réussi à s'enfuir, mais ils la recherchent, cobaye interessant grâce à son immortalité, ils jugent qu'elle est utile à l'organisation, elle vit donc en fuite. 009. elle ne fait pas partie du groupe dark wings, sa vendetta elle la fait toute seule, d'autant plus que ce groupe est plus ou moins lié à hydra, chose qu'elle ne peut pas tolérer. 010. elle n'a jamais été indexé par le shield et n'a pas l'intention de se laisser facilement enregistrer par ces imbéciles.
CLARKE ELIZABETH
MORIARTY
Métier
AUCUN
Sexe
F
Index
NON
POUVOIR : régénération cellulaire

VOTRE DON/PARTICULARITÉ EN QUOI IL/ELLE CONSISTE ?
Clarke a un don de régénération cellulaire, cependant elle ne peut utiliser ce don qu'en étant en contact avec d'autres personnes. Elle arrache aux autres leur énergie et l'utilise pour se soigner. Elle peut guérir ses blessures, mais aussi empêcher le vieillissement de ses cellules, c'est grâce à son don qu'elle a vécu près de six siècles sans prendre une ride. Elle pourrait n'absorber qu'une partie de l'énergie d'une personne pour soigner une petite blessure par exemple, mais le regain d'énergie est tellement plaisant qu'elle ne peut s'empêcher de tout prendre, tuant la personne à qui elle pique l'énergie. Sans scrupules, elle a laissé de nombreux cadavres derrière elle, mais elle n'en a que faire. C'est un don qu'elle a appris à maitrisé, ainsi, il ne se déclenche que si elle le désire, ça n'a pas toujours été le cas, quand son pouvoir est apparu au départ, elle ne pouvait toucher personne sans le tuer, mais avec l'expérience, elle se maitrise à présent.

Que pensez vous du SHIELD et HYDRA ?
Elle les déteste, l'un comme l'autre. Retenue prisonnière par hydra pendant de nombreux mois, torturée, ayant servie de cobaye encore et encore, elle ne peut que détester hydra, elle souhaite leur destruction. Elle pourrait presque apprécier le shield du coup, mais il n'en ait rien, de son point de vu, ils ne valent pas mieux qu'hydra. Qu'est-ce qu'ils feraient d'elle s'ils venaient à la retrouver ? Elle n'a clairement pas envie de se retrouver enfermée au shield, alors elle les méprise aussi. Elle n'est pas indexée et elle n'a pas l'intention de se laisser enregistrer dans leurs maudits registres. Les deux organisations se valent aux yeux de la blonde, et le monde se porterait mieux si elles n'existaient pas. De ce point là, elle sait ce qu'elle dit en plus, elle l'a connu le monde sans le shield et hydra et les choses étaient beaucoup plus simples à cette époque, pour les gens comme elle.

sweet poison - anaïs - 22 ans
ft. natalie dormer - personnage inventé.
fréquence de connexion : 7j/7. pays : france. avis sur le forum : fdeinynyul gjehfino htahempshe tejamelpo. avez vous des suggestions : naaaaaaaan. comment l'avez vous connu : je sais paaaaaas. dernier mot : le temps passe trop vite x).


Dernière édition par Clarke Moriarty le Ven 29 Mai - 20:27, édité 1 fois
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Clarke Moriarty
Clarke Moriarty
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★ occupation : en fuite, elle n'a pas vraiment de boulot, de toute façon vu sa fortune elle n'a pas besoin de bosser.
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★ compétences : absorption d'énergie, elle peut guérrir en prenant l'énergie d'autrui, elle peu également empêcher le vieillissement de ses cellules grâce à l'énergie qu'elle prend.
MessageSujet: Re: (clarke) ›› i'm bulletproof, nothing to lose.   (clarke) ›› i'm bulletproof, nothing to lose. EmptyVen 29 Mai - 20:26

the warriors that built this town.
When I feel your touch it burns my skin.
Assise près de la fenêtre, la jeune femme observait le paysage, la cour, les jardins, un beau paysage particulièrement vide. Un soupire passa le seuil de ses lèvres, on avait de cesse de lui répéter qu’un jour un enfant viendrait illuminer ce décor, elle donnerait un fils à son époux, tel était son rôle et pourtant les années passaient et il n’y avait toujours pas l’ombre d’un enfant dans son mariage. Son époux était de toute façon trop occupé à baiser toutes les putes du bordel du coin pour s’occuper d’elle. Il ne l’aimait pas, elle ne l’aimait pas. Il semblait que c’était ça le mariage, de belles promesses sans intérêt et un mépris à peine dissimuler. La brune rêvait de mieux, elle voyait le monde par la fenêtre de sa grande demeure et elle rêvait de franchir ce maudit portail pour aller le découvrir, mais elle était prisonnière d’une vie qu’elle n’avait pas choisie. Pourquoi est-ce qu’on la laisserait choisir après tout ? Elle n’était qu’une femme, une pauvre femme sans intérêt, soumise à une vie qui n’en avait pas non plus. Elle rêvait de s’échapper mais elle n’en avait pas les moyens, ni même la possibilité. Elle était prisonnière, comme toutes les femmes de son époque, comme toutes celles avant elle, comme toutes celles après elle. Elle ne verrait jamais les femmes du siècle prochain, mais il y avait peu de chance pour que les choses changent d’ici là. Elizabeth était née dans une riche famille anglaise, dès sa naissance, sa destinée était toute tracée, la vingtaine à peine atteinte, elle épouserait un homme d’une famille toute aussi noble que la sienne, elle lui ferait des enfants qu’une autre élèverait. Elle serait la femme bien droite d’un homme qui n’aurait que faire d’elle. Elle serait seule, bien seule. C’était ça la vie des femmes d’aujourd’hui, la vie des femmes de demain, celle des femmes de toujours. Pourquoi est-ce qu’elle ne pourrait pas avoir mieux ? C’était une question qui lui revenait souvent, après tout, il suffisait qu’elle se donne les moyens d’avoir mieux, qu’elle s’enfuie, Dieu seul savait où et elle verrait bien où est-ce que ça la mènerait, ça ne pouvait pas être pire qu’ici. Un jour, elle s’enfuirait, elle quitterait cette maison, ses devoirs et cet homme qui n’avait que faire d’elle. Elle méritait tellement mieux que ça. Elle fut prise d’un sursaut alors que la porte claquait dans son dos. Monsieur était de retour. Elle s’efforça à appliquer un large et élégant sourire sur ses lèvres pour se relever de sa chaise et aller saluer son mari, plonger son regard dans le sien et n’y voir que le mépris. Elle le détestait, il la détestait, mais ils étaient condamnés l’un avec l’autre, lui il pouvait aller voir ailleurs sans risquer de perdre sa tête, elle, elle était coincée ici comme une bête en cage. Combien de temps encore ? Elle l’ignorait, mais elle savait qu’elle ne finirait pas sa vie ici, pas avec lui, pas enfermée dans un quotidien qui ne lui plaisait pas. Plus le temps passait, plus elle était las de cette vie. Il fallait qu’elle prenne la fuite.

Il était beau, élégant, charmant. William était un ami de son époux, un homme qui au moins faisait attention à elle. Il était cet interdit qui rendait sa vie bien plus palpitante. Leur relation n’avait pas d’avenir, elle était mariée à son meilleur ami, qu’adviendrait-il si on découvrait leur relation ? Elle ne voulait pas le savoir, elle ne voulait même pas y penser. La main posée sur son ventre rebondi, la jeune femme savait déjà que cet enfant n’était pas celui de son époux, ce n’était qu’un mensonge de plus qu’elle s’appliquait à lui servir, enceinte ou pas, il ne faisait pas plus attention à elle de toute façon. Où était-il encore passé ce soir ? Elle n’en avait pas la moindre idée. William était là, lui au moins. Il était là alors que la douleur au fond de ses entrailles semblait insurmontable. Le bébé allait arriver et son mari n’était même pas fichu de faire acte de présence dans leur grande maison vide. Pas question de laisser William allait chercher le médecin, elle l’avait retenu, elle l’avait supplié de ne pas l’abandonner. Elle allait mourir, c’était là, la sensation qu’elle avait alors que la douleur n’en finissait plus, sa main serrait fermement celle de William alors qu’elle faisait tout ce qui était en son pouvoir pour faire naitre cet enfant. Ses forces semblaient la quitter à chaque nouvelle contraction, l’odeur de sang venait titiller ses narines, les larmes coulaient sur son visage alors qu’elle sentait la mort à deux doigts de s’abattre sur elle. Les paupières soudainement closes, elle n’entendait plus grand-chose à ce qui se passait autour d’elle, elle était trop faible. Elle entendait sa voix à lui qui appelait son prénom, William. Elle voulait revenir pour lui, mais elle n’en avait plus la force. Elle voulait ouvrir les paupières. Sa main étroitement enfermée dans celle de son compagnon, elle sentait encore sa peau contre la sienne et le courage semblait lui revenir. La force regagnait ses veines, parcourait son corps créant en elle une sensation tellement plaisante, elle ne savait pas d’où ça lui venait, mais c’était agréable. Elle se sentait mieux, tellement mieux. Ses yeux s’ouvrirent d’un coup alors qu’un bruit sourd la ramena à la réalité, la coupant du bien-être qu’elle ressentait au fur et à mesure que ses forces lui revenaient. Les paupières ouvertes, elle vit William par terre, effondré. Les secondes furent longues avant que quelqu’un ne prononce le moindre mot et pourtant, le verdict fut particulièrement lourd. William était mort, d’un coup sans que personne ne comprenne pourquoi et le bébé qu’elle avait mis en monde était mort né. Le cœur lourd, la jeune femme avait l’impression que son monde était en train de s’effondrer. Elle se laissa tomber en pleur au fond du lit. Ses espoirs venaient de lui être ôtés, qu’est-ce qu’il lui restait à présent ? Rien de plus qu’un profond désespoir et un mari qui trouverait une raison de plus de la maudire dès qu’il apprendrait qu’elle n’avait pas été fichu de donner naissance à un enfant en vie.

Les mains plaquées contre les joues de sa nouvelle victime, Elizabeth observait les dernière forces de cet imbécile le quitter pour venir jusqu’à elle. Elle avait fini par comprendre ce qui s’était passé ce soir là quand William était mort. La force qui l’avait regagnée ne venait pas de nulle part, c’était celle de William qui était venue jusqu’à elle, elle l’avait tué pour survivre et rapidement elle avait compris qu’elle pouvait e faire de même avec absolument n’importe qui. Son mari avait été sa seconde victime, elle lui avait pris la vie, aspirant son énergie pour gagner en force, en vitalité et en jeunesse. Tuer lui permettait de rester jeune, alors des victimes, elle en avait fait au cours des années. Des vies elle en avait ôtées plus d’une afin de pouvoir rester jeune et traverser les années sans se soucier du temps qui passe. Elle avait eu un mari, puis un autre et encore un. Tant de mariages qu’elle avait arrêté de compter au fil des années, des siècles même. Elle avait vu le temps changer, le monde évoluer. Elle pouvait encore continuer, elle pouvait toujours aller plus loin. Il lui suffisait de quelques vies pour pouvoir s’en sortir. Elle ne craignait pas la vieillesse, elle ne craignait pas les pires blessures, elle pouvait toujours guérir, en prenant la vie de quelqu’un d’autre certes, mais qu’est-ce qu’elle en avait à faire ? La mort lui faisait peur, elle ne voulait pas l’affronter, alors elle continuait, encore et encore, sans jamais compter les cadavres qu’elle laissait derrière elle. La jeune Elizabeth, innocente et fragile était bien loin derrière elle. Jeune, elle avait eu des rêves, elle avait voulu voir le monde, elle l’avait vu à présent, elle avait voyagé de pays en pays, de villes en villes tellement de fois. Elle avait construit une vie quelque part, puis une autre ailleurs. Elle était libre de faire ce qu’elle voulait sans jamais s’arrêter, plus rien n’avait d’influence sur elle. Plus rien ne pouvait l’arrêter. Toutes les années qui s’étaient écoulées l’avait rendue plus puissante, invincible selon elle, mais ce n’était qu’une impression qui s’était emparée d’elle-même. Elle avait des défauts, elle avait bien plus de failles qu’elle ne voulait l’admettre, elle ne s’en rendait juste pas encore compte, persuadée que rien ni personne ne serait jamais capable de l’arrêter. Pourtant, elle voyait bien les choses qui évoluaient, le futur qui se dessinait, toujours plus chaotique jour après jour. Elle avait vu les guerres, les famines, les génocides, les armes toujours plus puissantes qu’on avait de cesse de construire pour abattre ses ennemis. Le monde avait changé mais il ne l’effrayait pas plus qu’avant, après tout, elle avait changée avec le monde, laissant Elizabeth Pemberton bien loin derrière elle, pour devenir en vain une nouvelle personne.

Le souffle court, elle se laissa glisser contre l’un des murs sales de la ville de New-York. Elle sentait le sang couler d’une des nombreuses plaies qu’elle portait sur elle. Son visage se reflétait contre une vitre en face d’elle, ses traits étaient déchirés par de trop nombreuses cicatrices. Elle sentait la fureur se répandre dans ses veines et ce nom qui résonnait encore dans sa tête. Hydra, maudits soient-ils. Ils s’étaient servit d’elle, ils avaient expérimenté sur elle, ils l’avaient torturée, encore en encore, lui laissant toujours la chance de survivre à tout ce qu’ils lui faisaient pour mieux pouvoir recommencer par la suite. Elle avait souffert le martyr au sein de cette organisation. Ils s’étaient servit d’elle comme d’un rat de laboratoire dans le but de trouver ce qui faisait d’elle ce qu’elle était. Elle semblait immortelle et c’était un pouvoir convoité par les gens comme eux, ces mégalos qui désiraient contrôler le monde et que rien ne pouvait arrêter. Hail Hydra. Elle avait souvent entendu cette phrase au cours de sa vie, elle avait connu la seconde guerre mondiale, elle avait vu l’apogée de l’hydre, puis sa chute. Elle n’avait pas imaginé qu’ils puissent avoir survécu et pourtant, enfermée dans leurs laboratoires, elle pu constater qu’ils étaient encore là, couper la tête de l’hydre et en voilà deux qui repoussent, c’était peu dire sans doute. La colère dans les veines, elle maudissait hydra à présent. Des années plus tôt, ils avaient été le cadet de ses soucis, maintenant, elle les détestait, elle voulait les voir brûler en enfer. Eux, le Shield, tous ceux qui prétendaient vouloir contrôler les gens comme elle. Elle n’était pas un rat de laboratoire, pas plus qu’elle n’était un dossier au sein du shield. Elle était mieux que ça, elle était libre et elle voulait le rester. Elle s’était défaite de ses chaines des siècles plus tôt et personne ne viendrait jamais l’enchainer de nouveau. Un soupire passa le seuil de ses lèvres alors que des bruits de pas venaient vers elle. C’était sa chance de s’en sortir pour pouvoir continuer. Elle vit le visage d’un homme, un type qui se dépêcha de venir vers elle pour l’aider alors qu’elle était considérablement blessée. Pauvre homme, il avait l’air d’un homme bien pourtant. Il était là en face d’elle et sa main contre son épaule, il se vidait de ses forces alors que ses plaies à elle se refermaient, que les cicatrices qui marquaient son visage disparaissait. Il était mort et elle, elle survivait. Laissant le cadavre dans la ruelle elle quitta les lieux, elle avait une vengeance à obtenir, elle voulait détruire hydra et tout ce qui allait avec et rien ne pourrait l’arrêter.
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