Il se souvient de ces dessins stupides à l'école, alors qu'il était seulement haut comme trois pommes. Dessinez votre famille qu'ils demandaient et il le faisait, bien sagement. Sans chichis, ni flaflas. Il gardait ça simple, réaliste sans vraiment le faire exprès. Une petite maison, voire une cabane, parce qu'il n'a jamais connu le luxe. Rouge, comme la sienne, parce que tant qu'à être pauvres, aussi bien être voyants. Le faire avec style comme sa mère lui dit toujours. De simples fenêtres, dont une avec un carreau brisé au rez de chaussée, parce que le fils d'un des voisins jouaient à la balle avec l'un de ses potes, alors qu'il ne savait apparemment pas viser. Il y a les fleurs au bas que maman tente de faire pousser sans grand succès, malgré le temps et les efforts qu'elle y met. C'est pas grave, il les a dessinés grandes et belles. Bien colorées, juste pour lui faire plaisir. Et puis il y a la cheminée traditionnelle, même s'il n'a jamais vu cette dernière fonctionner, aussi loin qu'il s'en souvienne. Il s'empresse ensuite d'ajouter des détails qu'il juge importants, méticuleux comme toujours dans ce qu'il entreprend. Son vélo, déjà, enchaîné sur le côté de la maison, histoire de pas se le faire choper. La lumière murale juste à côté de la porte, la dernière marche brisée, même s'il a de la difficulté à bien dessiner le tout. Lorsqu'il juge enfin son chez-soi représentatif de la réalité, il décide de commencer par dessiner sa mère. Sa mère est belle, pas comme toutes les mamans du monde. Ça, c'est des conneries, parce qu'il a vu la mère à Jeffrey et franchement, c'est pas une œuvre d'art. La sienne est beaucoup plus jolie. Plus grande que la plupart des autres, alors il n'hésite pas à faire un long trait. Et elle porte une robe, comme toutes les mamans se devraient. Avec un napperon comme les contes de fées, parce que les mamans passent leurs journées aux fourneaux. Pas forcément la sienne, elle est loin d'être la meilleure cuisinière du monde, mais elle fait des efforts. Parfois c'est bon, d'autres, il aimerait avoir un chien à qui passer les restes en douce. Il prend son crayon jaune, tourbillonne autour de la tête. Parce que sa mère a de longs cheveux blonds, comme les siens. Sauf qu'eux sont bouclés, un peu foufous, alors qu'il l'entend parfois jurer contre eux dans la salle de bain.

Il se dessine à côté, sans vraiment chercher à le faire parfaitement. Beaucoup moins investit dans lui-même, il se dessine avec le chandail de son équipe préférée. Comme neuf, il évite d'ajouter le trou qu'il a fait dans ce dernier, alors qu'il jouait avec Evan dans la rue. Celui que sa mère a recousu, le fil beaucoup trop voyant, à défaut de l'avoir de la même couleur. Il se dessine un sourire, parce que comme tous les petits garçons, ou filles même, quand on fait un portrait de sa famille, tout le monde doit être heureux. Seulement, il y a un problème et bien vite il y fait face, alors qu'il termine son petit auto-portrait. Il reste le papa. Oh, il dessinerait bien un petit-frère, voir une petite sœur limite ( quoique non, la petite sœur d'Evan ne fait que pleurer et il est bien content d'éviter cette torture ) sauf qu'il est enfant unique. Le seul petit bébé à sa maman, qu'elle lui répète sans cesse, celui qu'elle veut chérir plus que tout. Du coup, pas le choix, il doit dessiner son père. Le problème, c'est qu'il ne sait pas comment l'inclure. Parce que la question a longtemps été la même, malgré qu'il connaissait depuis un moment la réponse, sans vraiment la comprendre. Où est papa ? Papa doit travailler loin loin loin, à ce qu'il a compris. Pour son pays. Alors pendant un moment il hésite, se questionne sur le fait de l'ajouter ou non. Il n'y a que des bribes de son père. Un voyageur qui vient de temps à autres, un peu trop chaleureux, malgré ses absences. Seulement, s'il ne l'ajoute pas, c'est sa mère qui sera triste. Alors sa main glisse, tout le long de la feuille, jusqu'à atteindre l'extrémité de celle-ci et se met à la tâche. Grand, peut-être un peu plus que sa mère, comme tous les autres papas. Il ne lui fait pas de cheveux, parce qu'il les a toujours rasés. À la place, il met sa casquette verte et ses habits verts. Ses bottes et ses gros sacs qu'il transporte tout le temps. Et il dessine l'un de ses bras levé, en signe de salut, alors que sa figure semble se diriger hors de la feuille. Un papa qui s'en va. Un père qu'il ne connait pas trop. Qu'il connaîtra bientôt beaucoup plus, pour plutôt lui enlever sa mère. Le karma a ce genre de sens de l'humour. Avoir un père dans l'armée et que ce dernier perde une jambe dans un banal accident de voiture. Une mère à la maison, qui devient une mère avec deux emplois, parce que la petite pension qu'ils reçoivent à cause du peu nombres d'années qu'il a servi ne couvre pas les soins médicaux, ni les dépenses quotidiennes. Au moins, il n'avait plus besoin de faire ce genre de dessins à ce moment-là. Au pire, il aurait toujours pu faire la famille à Evander et Nausicaa, ça marcherait aussi.


Le visage d'Evan ne devrait pas être aussi pâle. Il devrait être plein de couleurs, le rouge aux joues. Soit parce qu'ils ont un peu trop bu, soit parce qu'ils ont décidés qu'ils s'offraient plus qu'ils ne voulaient payer dans un supermarché quelconque. Rire à gorge déployé, alors qu'ils attrapent Nosy au passage, la félicitant de sa performance avec des sucreries en récompense. Il devrait sourire de ce sourire qu'il trouve si arrogant, parce qu'Evan n'est pas le genre à se faire marcher sur les pieds, d'aussi loin qu'il se rappelle. Lui non plus, à ce qu'il paraît. C'est peut-être pour ça qu'ils faisaient leur loi sans trop d'anicroches, autant à l'école que dans leur quartier. Trop têtes brûlées, trop écervelés. Plusieurs leurs demandaient ce qu'ils pouvaient bien faire à vagabonder dans les rues si tard le soir. Trop sauvages pour bien des parents. Mal élevés, de vrais avortons qu'ils se faisaient appeler, mais ça ne faisait que les encourager davantage. Evan était là, quand personne d'autre ne l'était. Avec sa petite sœur traînant jamais loin derrière. Un petit bonus, une petite corvée qu'il n'a jamais rechigné à encaisser. Si c'était important pour Evander, ça l'était pour lui aussi. Une petite sœur pour lui aussi, en quelque sorte. Tant que ça plaisait à Evan au départ, il aurait sans doute fait n'importe quelle connerie. Son meilleur ami, voir même son seul ami par moment. Peu importe les autres qui se raccrochaient à eux à la longue, formant leur propre petite bande de voyous. Au centre, c'était Evan et lui, personne d'autres. Bon, il y avait aussi Nosy, mais comme son grand-frère le disait, moins elle était mêlée à leurs bêtises, mieux elle se porterait. C'était bien marrant au départ, les petits vols dans les supérettes et ces conneries du genre, mais alors que les années s'écoulaient et que leurs affronts s'accumulaient, ils sont devenus plus audacieux. Plus dangereux. Vols, taxage, menaces, voies de faits. Il se souvient et se souviendra toujours la première fois qu'il a touché une arme à feu. C'est sans doute à cet instant précis qu'il a réalisé qu'ils glissaient dans un gouffre sans fond. Un retour impossible. C'était seulement pour leur faire peur qu'il se raisonnait encore et encore. Ils n'auraient même pas besoin de l'utiliser et ces pauvres cons seraient motivés à leurs donner plus d'argent. Et ils pourraient vivre la grande vie. Ouais, quelle connerie.

Il n'avait pas prévu viser un truc aussi haut qu'une bijouterie. Il n'avait pas ce genre de visions, il ne voyait sans doute pas assez loin. Il n'avait pas prévu que le propriétaire ne serait pas seul, même si on les avait convaincus du contraire. Il n'avait pas prévu que lorsqu'il sortirait son arme, ils en feraient de même. Sauf qu'eux avaient les couilles de tirer en premier. Il se souvient d'avoir vu Evan sautiller sur place quelques instants avant d'entrer, secouant rapidement ses mains sous ce qu'il savait être de la nervosité. Il se souvient d'avoir entendu une balle siffler, tout près. Trop près. Il se souvient de sa respiration, endiablée alors qu'il criait à Evan de dégager. Ses pas résonnant sur le sol alors que la nuit était beaucoup trop silencieuse. Evan n'arrivait pas à le suivre, ce qu'il trouvait étrange. Après tout, il l'avait toujours battu à la course, peu importe le nombre de revanches qu'il avait demandé. Alors il s'était retourné et c'est là qu'il la vue. Du rouge. Du rouge beaucoup trop marquant sur son chandail, se  répandant sur ce dernier alors qu'Evan ralentissait de plus en plus. Ce même rouge qui se retrouvait alors sur ses mains, alors qu'il tenait Evan dans ses bras. Là, sur la banquette arrière, hurlant à celui qui conduisait d'aller plus vite. Parce qu'Evan gémissait, encore puis plus faiblement. Parce qu'il ne semblait pas vouloir arrêter de saigner, peu importe la pression qu'il tentait de mettre sur sa blessure. Et sa voix, paniquée qui lui demandait sans arrête de le regarder, de lui parler, de rester éveillé. Pas question qu'il le lâche, pas question qu'il ferme les yeux. Ils arrivent, bientôt ils arrivent. Seulement il n'a pas réalisé tout de suite, seulement au dernier tournant qu'Evan était immobile. Les yeux fixés sur lui, sans vie. Et lui qui le secouait, toujours plus.

Il se souvient que les autres les ont débarqués devant l'hosto pour repartir en trombe. Lui, avec son ami dans les bras, couvert de son sang. Et il a crié, à travers des larmes, il a hurlé. Qu'on l'aide par pitié, parce qu'il y a tellement de sang. Comment peut-il y avoir autant de sang ? Une éternité, voilà ce que ça lui a semblé. Une éternité à crier, à attendre qu'on l'entende, parce qu'il n'avait pas la force de se redresser avec Evan pour le porter jusqu'à l'intérieur. Parce qu'il savait que c'était déjà trop tard. Et que ses yeux, noirs de mort, fixaient toujours son visage, le clouant sur place. Quelqu'un est venu, enfin. Il a déblatéré une histoire, inventée, pour expliquer leurs états. Il leur avait donné les renseignements nécessaires, mais l'idée de voir sa famille, de voir leurs réactions, la pousser à s'enfuir comme un voleur avant qu'ils n'arrivent. Le visage de son père, assis comme toujours dans sa chaise roulante, s'est figé en le voyant passer le pas de la porte. Il a vu le sang, puis la panique et le désespoir. Peut-être que la guerre lui a fait savoir qu'à certains moments, mieux vaut ne pas poser de questions. Peut-être qu'il ne savait tout simplement pas comment communiquer avec lui malgré toutes ces années. Il lui a simplement dit d'aller se nettoyer, le regard grave. Et c'est ce qu'il a fait. Méticuleux, comme toujours, il a lavé ses bras sous l'eau, frottant ses derniers jusqu'à ce qu'il ne sache plus si le rouge venait toujours du sang d'Evan ou de son propre épiderme irrité. Puis il est sorti sur le porche, ne sachant pas exactement quoi faire. Il s'est allumé une cigarette, laissant cette dernière brûlée entre ses doigts tremblants. Puis, il a marché, de long en large, frappant et jurant contre la maison à quelques reprises. Impossible qu'il se disait, qu'il se bornait. Evan irait mieux, qu'il espérait. Ses parents lui diraient que finalement, tout se passerait bien.

Jusqu'à ce qu'il voit Nosy.

Ses jambes courant à tout allure. Petite gazelle qu'il s'amusait à la taquiner. Sauf que son visage était baigné de larmes et que jamais, jamais il ne pourrait retirer le couteau qui s'est planté dans son cœur à ce moment précis. Celui où il a réalisé qu'il avait non seulement perdu son meilleur ami, mais qu'ils venaient d'enlever un fils et un frère à cette famille. Ses genoux ont heurté le sol, sa main a laissé tomber sa cigarette et Nausicaa a heurté son corps du sien. Et il la serré, fort. Trop fort sans doute. Il la serré comme si sa petite personne était la seule chose qui lui permettait de se raccrocher. Il n'a pas réalisé qu'il avait oublié de changer son t-shirt encore tâché de son sang. Il se souvient des larmes. Trop nombreuses, trop envahissantes. Elles lui prenaient tout, jusqu'au dernier respire, alors qu'il sanglotait contre le cou d'une gamine, à lui balancer des pardon Sica, pardonne-moi. Pardon, pardon, pardon jusqu'à s'en écorcher la voix.


L'absolution, les deuxième chances, il a jamais vraiment cru que c'était pour lui. Trop petit, trop insignifiant pour mériter ce genre de privilèges. Un insecte tente simplement de ne pas se faire écraser après tout. Il était au point mort. Incapable d'avancer, seulement de revivre cette scène funeste. Evander n'était plus là et chaque détail semblait le lui rappeler de la façon la plus cruelle qui soit. Sa faute, qu'on lui avait inscrit sur le front et il n'avait pas broncher. Ce poids il le sentait, lourd, entaillant sa chaire sur ses épaules un peu plus. Il s'était même demandé s'il méritait d'aller à ses funérailles. Lui, qui s'en était sorti indemne, alors que son meilleur ami y avait perdu sa vie. Égoïste jusqu'à la fin, il ne pouvait pas ne pas lui dire adieu. Seulement il se souvient. De Nausicaa s'avançant vers lui, le visage baigné librement de larmes alors qu'il tentait de retenir les siennes. Des parents d'Evan : sa mère qui n'arrivait même pas à libérer la moindre parole sous ses sanglots, tandis que son père le fixait lui avec mépris et rancœur. Meurtrier qu'il lisait dans son regard. Lui qui avait déjà été comme un deuxième fils pour eux, leur apparaissait maintenant comme un monstre. Et les montres ne méritent pas de deuxième chance, c'est ce qu'on lui avait toujours dit. Alors pourquoi lui ? Voilà ce qu'il s'est demandé, encore et encore, lorsqu'il est rentré un soir pour voir son père qui l'attendait au salon accompagné d'un vieil ami bien particulier.

Le S.H.I.E.L.D. Tu peux faire tellement mieux Luke. Tu peux prendre ta vie en main. Tu peux encore t'en sortir. Et pourquoi lui ? Comment un pauvre gamin comme lui pouvait se faire offrir une telle chance ? Tout ce baratin, il l'a gobé. Parce qu'une deuxième chance ne se présente pas tous les jours. Parce que lorsqu'un étranger avec le pouvoir de changer les choses t'assurent que ta vie n'a pas besoin de mener à rien, il y a cette sensation d'être invincible pendant une seconde. D'avoir un brin d'espoir. De ne pas se sentir totalement perdu et d'avoir un but, tendu dans le creux de la main. Une opportunité à saisir, afin de devenir quelqu'un de meilleur. Peut-être que c'est pile ce qu'il attendait. Quelqu'un prêt à lui tendre la main, à lui dire qu'il n'était pas juste un gamin d'un mauvais milieu, destiné a terminé comme un raté. S'il ne meurt pas trop jeune. Alors il l'a saisi. Il a saisi cette chance, cette porte de sortie même. Parce que le temps qu'il passait derrière des bouquins, à reprendre ses études en main, à effectuer de longues heures de rattrapage et de travaux supplémentaires afin d'entrer à l'université, il n'avait pas à les voir. Pas à voir les parents d'Evander ronger par la perte. Pas à voir le regard grave de son père, inquiet qu'il laisse tout tomber et qu'il décide de devenir de la chaire à canon, à sa façon. Pas à voir l'air désemparé de sa mère, qui le regarde comme s'il allait se briser dans un coin alors qu'elle traîne plus longtemps que nécessaire avant d'aller travailler. Et puis, pas à voir Nosy ou du moins, pas autant qu'avant. Elle qui le regarde et qui, mieux que quiconque, semble lui dire qu'elle ne lui en veut pas, qu'il restera encore et toujours Luke pour elle. Et c'est peut-être ce qui lui fait autant de bien et autant de mal.

Parce que c'est pour elle qu'il fait ça, également. Pour qu'elle ait un nouveau grand-frère digne de ce nom, qui ne disparaîtra pas en jouant aux cambrioleurs ou en se faisant une ligne de cocaïne en trop. Alors il travaille, dur. Il s'y consacre, entièrement. Si son temps n'est pas dans ses livres, il le passe avec ses parents ou Nosy, autant qu'il le peut. Et lorsqu'il décroche non seulement son diplôme, mais une place à l'académie, c'est avec eux qu'il fête la nouvelle, loin des ruelles. Ce qu'il ne réalise pas tout de suite, c'est que c'est beaucoup plus difficile qu'il ne le pensait. Pas seulement les études, mais également la solitude. Les sorties ne sont pas courantes et même s'il est toujours dans la même ville que sa famille, il a l'impression d'être à des milliers de kilomètres. Un nouveau départ signifie également de nouvelles relations, choses qu'il met un certain temps avant d'expérimenter. Puis il y a Nosy, qui au fil du temps, grandit tellement plus vite que ce qu'il ne l'aurait cru. Oh bien sûr, ils se parlaient, autant que possible et surtout à la demande incessantes de la jeune fille, qu'il ne remercierait jamais vraiment assez. De vouloir encore lui parler. De vouloir encore de lui, point. Malgré les conversations qu'il juge parfois interminable, ou encore des photos plutôt ( très ) déplacées qu'elle se faisait plaisir à lui envoyer, au plus grand bonheur de quelques copains de dortoir aillant été présent sur le fait même. C'est elle, qui a été le plus difficile à quitter, au final. Quand il a vu la lumière au bout du tunnel et qu'on la informé qu'il était dès à présent un agent officiel du S.H.I.E.L.D, l'idée de rester ici, à New-York et ses regrets, ne lui semblait plus possible. Et l'idée de la quitter elle n'a jamais vraiment été digérer malgré son départ.

Nausicaa, par contre, semble avoir cette faculté de lire exactement dans ses pensées. Puisque, quelques années plus tard, elle l'attendait sagement à l'extérieur de son appartement pour lui annoncer qu'elle allait demeurer avec lui. Chose qu'elle fait maintenant depuis quatre ans. Un changement qui la déboussolé, c'est peu dire, mais qui s'est imposé naturellement de lui-même. Parce que bon, Nosy, il n'a jamais vraiment été capable de lui dire non au final. Alors il s'est trouvé un meilleur appartement, histoire qu'elle ait sa propre chambre et il lui a payé des études. Parce que s'il avait eu droit a une deuxième chance, il ne voyait pas pourquoi elle ne pourrait pas en avoir une également. Si quelqu'un méritait une meilleure vie dans tout ce foutoir, c'était bien Nausicaa.

C'est sur cette charmante danse des avengers - ou d'une partie d'entre eux en tout cas - que tu es officiellement validé(e) sur tolitd ! C'est la classe, on peut le dire, du coup après cette lourde épreuve tu peux aller manger un shawarma avec les avengers, attention grosse ambiance de folie quoi ! Sinon, tu peux aussi aller t'occuper de ton personnage en suivant les quelques liens ci dessous.

Pour commencer tu peux aller vérifier dans le bottin des avatars, si on a pas oublié de rajouter ton avatar, si jamais c'est le cas, n'hésite pas à le signaler qu'on puisse régler ça au plus vite Ensuite, si ton personnage est un non-humain (asgardiens, demi-asgardiens, mutants, néo-mutants), il faudra le recenser dans ce registre. Si c'est un agent de hydra ce sera par ici, mais si c'est plutôt un agent du shield, c'est dans ce sujet là. Mais si c'est un petit jeune qui est encore à l'académie du shield rendez vous ici. Pour finir, si c'est un membre d'afterlife, un petit tour ici s'impose. Pour finir les listings, si tu veux une maison passe chez notre agent immobilier et si tu as un job qui n'est pas en rapport avec le shield, afterlife et hydra, tu peux le recenser par là. Si ton personnage peut être dans deux registres différents, pense à passer dans les deux

Ensuite, si tu veux chercher des liens, c'est ici que ça se passe, faire une fiche de liens et passer dans celles des autres est essentiel pour l'intégration Et puis, si tu veux un partenaire de rp, tu peux aller chercher dans ce sujet. Tu peux également faire un scénario par là en respectant le modèle et les règles, ça va sans dire. Le plus intéressant pour la fin, tu peux également venir flooder avec nous en faisant un tour ici ! N'hésite pas non plus à poster dans la fiche bazzart, un petit mot, ça fait toujours plaisir

Sur cette avalanche de liens, nous te souhaitons encore une fois la bienvenue parmi nous et sache qu'on t'aime déjà fort comme ça et si, c'est de l'amour, jte jure Félicitations pour cette validation et bonne continuation sur le forum